Observer les jacinthes danser à Saïgon
Fraîcheur et harmonie au cœur de la trépidante Hô-Chi-Minh-Ville.





Le poumon économique du Vietnam ne dort jamais et s’affirme dans un brouhaha incessant. A une petite demi heure de l’ancienne capitale de la Cochinchine française, An Lam Saigon River est un lieu apaisant, une retraite en pleine nature. D’ailleurs, An signifie paix et Lam nature en vietnamien.
Pourtant, l’arrivée est un peu confuse. Notre taxi cherche son chemin et nous fait visiter les faubourgs d’Hô-Chi-Minh-Ville sans parvenir à se repérer. Enfin arrivés à destination, je cherche un accueil, sans succès. L’arrivée est un peu déroutante.
Pourtant, l’arrivée est un peu confuse. Notre taxi cherche son chemin et nous fait visiter les faubourgs d’Hô-Chi-Minh-Ville sans parvenir à se repérer. Enfin arrivés à destination, je cherche un accueil, sans succès. L’arrivée est un peu déroutante.
Une petite pépite loin de l’effervescence de Saïgon.
Il fallait une dose d’audace ou d’inconscience à cet entrepreneur vietnamien d’une quarantaine d’années pour transformer il y a trois ans sa maison de week end en hôtel. Cette demeure avec vue directe sur la Saïgon River et ses jacinthes d’eau qui semblent courir sur l’eau au gré des marées, est le patron d’une usine de meubles vietnamiens. Le pari est réussi. Notamment grâce au coup de génie de ce bateau mis à disposition qui relie trois fois par jour le centre de Saïgon à la vitesse de l’éclair. Séjourner à An Lam offre donc la possibilité de vivre l’actuelle Hô-Chi-Minh-Ville différemment, en version originale.
Ce qui confère à An Lam un statut particulier. Une petite pépite loin de l’effervescence de Saïgon.
Ce qui confère à An Lam un statut particulier. Une petite pépite loin de l’effervescence de Saïgon.
Les petits déjeuners sont pantagruéliques et débordent de jus frais. Le restaurant, lui aussi, surplombe la Saigon river. Seul petit bémol, c’est une adresse qui se mérite, le budget doit suivre.
